Zhuangzi a décrit une fable comme suit : l'empereur de la mer du Sud s'appelle Su, l'empereur de la mer du Nord s'appelle Hu, et l'empereur du centre s'appelle Chaos. Su et Su se rencontrent souvent dans le lieu de Chaos, et Chaos les traite avec beaucoup d'égards. Su et Hu ont discuté ensemble de la façon de rendre la lourde bonté de Chaos, en disant : "Tout le monde a des yeux, des oreilles, une bouche et un nez, qui servent à voir, entendre, manger et respirer, mais Chaos ne les a pas. Ils ont fait un trou chaque jour, et après sept jours, Chaos est mort.
Les animaux ont leur propre pays. Ils ont des pensées, des émotions, des expressions et des systèmes d'intelligence uniques. Dans de nombreux cas, les gens sont en fait les mêmes que les animaux.
Cette fable m'a profondément ému. Le "Chaos" est également une bête mythique mentionnée dans le "Shan Hai Jing". J'ai donc essayé de créer une telle créature sans sept orifices. Ils sont intégrés dans un tout, comme s'ils cherchaient leur propre réponse.
Zhuangzi décrit une fable dans laquelle le grand empereur de la mer de Chine méridionale s'appelle Swift, le grand empereur de la mer de Chine septentrionale s'appelle Khu et le grand empereur de la mer de Chine centrale s'appelle Chaos. Soudain et Khu se rencontraient souvent dans le lieu de Chaos, et Chaos les traitait avec une grande sollicitude. Ils ont dit : "Tout le monde a sept orifices : les yeux, les oreilles, la bouche et le nez, pour voir, entendre, manger et respirer, mais Chaos n'en a aucun. Ils ont retiré un orifice par jour, et après sept jours, Chaos est mort.
Les animaux ont un royaume qui leur est propre. Ils ont des pensées, des émotions, des expressions et un système d'intelligence unique. Dans de nombreux cas, les humains et les animaux sont en fait les mêmes.
J'ai été profondément ému par cette fable, et par le fait que le Chaos est aussi un animal divin dans le Shanhaijing. Je me suis beaucoup intéressé à cette créature divine. J'ai donc essayé de créer une créature sans sept orifices. Le Chaos porte sur sa tête un enfant dans le même état, et ils ne font plus qu'un, comme s'ils cherchaient leurs propres réponses, un état que j'appelle la recherche de la Voie.