Raoul Ponchon disait : "Quand mon verre est vide, je le plains ; quand mon verre est plein, je le vide".
Dans cette œuvre à l'huile, j'ai cherché à capturer l'essence d'un moment de pause, d'une méditation silencieuse dans l'espace d'un café. Les coups de pinceau imprégnés d'impressionnisme attirent le spectateur dans une atmosphère intime, où la lumière joue sur les textures et les formes. C'est une célébration de la tranquillité dans la vie quotidienne, une invitation à s'attarder sur les plaisirs simples.