Quand j'ai vu les gravures de Rouault, j'ai pensé que l'"espoir" était un concept artificiel et très humain pour les humains, incompatible avec la nature.
À partir de là, je l'ai exprimé en peignant des fleurs avec un sentiment d'extranéité, comme si elles étaient lumineuses et brillantes même dans l'obscurité.
Tout d'abord, j'ai écrit le poème susmentionné, à partir duquel j'ai développé des peintures à l'huile.