Le monde comme une forme de microcosme. Des réalités changeantes ont laissé leurs marques, des formes et des processus naturels se sont imprimés sur les surfaces comme des codes. Des racines, des talus, des troncs d'arbres ou des cadavres d'animaux, de vieux tuyaux, des déchets, des ordures, de la ferraille, associés à des humeurs personnelles et à des impressions atmosphériques absorbées, trouvent dans le tableau un langage formel propre.