Il sent le soufre, le rhum et le tabac. Comme la mythique salamandre, il résiste à tous les feux. C'est le rubedo. Dans son cœur jaillissent les réminiscences de combats ardents dont il est sorti, non pas indemne, mais fortifié. Toutes ces épreuves ont fini par forger sa clé. Les lunettes sombres et teintées sont dirigées vers le passé (à gauche). Et, alors que de nouveaux tourments restent à venir, les yeux céruléens du Corsaire, matois, se moquent du destin.