Peinture dans laquelle sont reproduites les portes d'une voiture du métro new-yorkais, plus précisément de la station de métro "wall street". Et où l'on peut voir une série de phrases et de dessins dans le style des graffitis, si typiques de cette ville, où l'on prétend mettre en garde contre les risques et les désirs que cet endroit inspire et provoque (wall street). Où le "rêve américain" peut devenir ; mais que dans la majorité des cas, il n'est pas atteint. D'où l'image d'un vétéran de la Bourse de New York attendant le métro, résigné et ruiné (comme le montre son costume froissé et son aspect délabré).
Une façon ironique, dans le style pop art, de montrer l'ambition et les rêves brisés de ce qui, pour beaucoup, peut être l'argent, le pouvoir et la gloire.
Œuvre dotée d'une excellente finition en vernis satiné et traitée de manière un peu usée pour être plus en phase avec le concept du métro new-yorkais.
Représentation exceptionnelle, réfléchie et saisissante qui appelle le spectateur à son observation.