Mon histoire d'enfant heureux maltraité par mon père tyrannique est dépeinte dans l'œuvre d'art. Il s'est rendu compte qu'en me traitant mal, il pouvait me faire développer une maladie mentale telle que l'anxiété sociale. Je ne pourrais plus jamais parler aux femmes, puisque c'était son plan. Ce n'était pas un père doux et aimant. C'était un parent stupide, incompréhensible et avide de pouvoir, qui se délectait de la cruauté et n'aimait pas les gens en général. Ma vie a été une lutte et une souffrance à cause de l'anxiété et du besoin de m'intégrer dans une société qui exige de moi la perfection et des efforts acharnés. En raison de ses nombreuses lois et réglementations, cette civilisation est terrible et cherche à me contrôler. La peur que quelque chose d'horrible et d'étrange m'arrive si je désobéis m'a fait comprendre que notre mode de vie n'est pas fait d'humanité et d'amour. En raison de leur liberté, de leur simplicité, de leur humilité et de leur tranquillité, je pense maintenant que le mode de vie des Amérindiens était préférable. Ils utilisaient des choses douces comme les chevaux, les saules, les plumes, la laine et les arcs pour rester au chaud et chasser. Mais ils étaient aussi interdits d'entrée par ces terribles Blancs, qui me rappellent mon père, que je déteste. J'ai donc peint un Amérindien effectuant une danse des fantômes en brandissant un tomahawk et un couteau, afin de les commercialiser. Cette cérémonie avait pour but de réunir les âmes des défunts et des vivants, d'éloigner l'incursion des Blancs et de promouvoir l'harmonie, la prospérité et la paix entre les Amérindiens de toute la région. Mais bien que les bons Indiens aient capitulé, ils ont été anéantis par ces Blancs stupides et facilement influençables.